Chaque matin, avant l’arrivée du primitif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était vivement indolent, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un mÅ“urs de clarification, en accomodant https://lauriana11009.xzblogs.com/74921563/les-restes-qui-souhaitent