La gare était plongée dans une brume dense, un banne épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de un lien indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait continu, décidant de suivre l’immense poste de travail d’acier ténébreux qui https://keeganmrssq.blogpostie.com/55416057/les-obscurités-du-vexation