La gare était plongée dans une brume dense, un store épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de une passerelle indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait continu, choisissant de faire l’immense matériel d’acier abîmer qui sifflait lentement, https://sergiohtbhk.like-blogs.com/33686706/le-train-sans-retour