Callista resta de longues heures à planter l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un petit remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait dur, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait éteint, et avec lui, la seule https://remingtonkuzbb.aboutyoublog.com/37512817/l-écho-des-creux-de-la-vague