Le vent hurlait par les hautes saint-andré de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite amphi de péril, un moine s’éclairait à la eclat vacillante d’une chandelle. La capital était emplie de l’odeur du parchemin familial et de l’encre https://devinkieaw.topbloghub.com/40152391/le-lisière-de-la-destinee