Arthur resta figé sur la scène, l'attention clair sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le vacarme du théâtre. Il n’y avait personne, aucune sorte de mouvement, zéro brise assez forte pour concéder un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer solitaire, comme par exemple s’il répondait à une https://johnathanlruya.weblogco.com/33891541/la-dernière-opinion-suspendue